De la peur à la liberté : la façon dont Jeanne a reconstruit sa vie après son divorce
« J’étais terrifiée à l’idée de devoir réussir à m’en sortir seule financièrement. »
24 juin 2024
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Cet article fait partie d'une série en cours sur les clients qui réalisent leurs ambitions avec l'aide de la Banque CIBC. Decouvrez d’autres témoignages
J’étais à la retraite depuis un an et, après 30 ans de vie ensemble, j’étais confrontée aux réalités de ma séparation avec mon mari. Je n’avais aucune idée de la manière dont j’allais gérer mes finances.
J’aimais la maison que nous avions achetée ensemble et je ne voulais pas déménager. C’était la première à être construite dans le lotissement à l’époque, et nous avons une vue magnifique et des voisins formidables. Notre maison n’est qu’à cinq minutes de route du centre-ville de St. John’s. Au début, je n’étais pas sûre de vouloir rester dans la maison : il y avait tellement de souvenirs ici, mais s’occuper d’une maison toute seule coûte cher et nécessite beaucoup de travail.
Ça a été l’année la plus difficile de ma vie. Je me remettais d’une opération, j’essayais de maintenir une bonne santé mentale et je traversais une étape énormément difficile dans ma vie. Pourtant, j’ai décidé que je voulais rester dans la maison. Notre prêt hypothécaire était remboursé depuis longtemps, mais pour partager équitablement nos biens avec mon mari et garder la maison, je devais racheter sa part avec de l’argent que je n’avais pas.
Une rencontre fatidique à un moment critique
C’est par chance que j’ai rencontré ma conseillère Andrea, et j’ai tout de suite remarqué que nous nous entendions bien. Je me suis présentée sans rendez-vous dans un centre bancaire CIBC à la recherche d’une marge de crédit sur valeur nette de la propriété. Cette marge me permettrait d’obtenir les fonds dont j’avais besoin. Andrea était incroyablement accessible et toujours souriante.
Je lui ai expliqué ma situation et mon objectif de conserver mon mode de vie actuel, mais aussi mes inquiétudes par rapport aux pires scénarios. Andrea pouvait voir tous les côtés des choses : elle m’a aidé à élaborer un plan financier et a été capable d’examiner ma situation objectivement et d’attirer mon attention sur des options que je ne connaissais pas. Elle m’a permis de me sentir en confiance par rapport aux conseils que je recevais, un sentiment que je n’avais jamais éprouvé auparavant. Je n’ai pas d’enfant et, comme je suis seule, il était rassurant de savoir que j’avais trouvé quelqu’un en qui je peux avoir confiance et qui sera à mes côtés.
J’ai fini par transférer tous mes comptes bancaires à la Banque CIBC et c’est formidable d’avoir tout en un seul endroit. Sans Andrea, j’aurais probablement laissé mon argent là où je l’avais déposé, ce qui ne m’apportait pas grand-chose. Andrea m’explique les choses de manière tellement logique, je me sens très à l’aise.
Des conseils personnalisés au moment où cela comptait le plus
Je faisais partie d’une famille de 14 enfants et ma mère nous a appris à être indépendants. Nous étions sept filles et elle nous disait : « ne dépendez jamais d’un homme ». J’ai donc toujours eu mon propre argent et j’ai appris à bien le gérer. N’empêche, le fait d’affronter son avenir seule crée de l’incertitude.
« Jeanne avait besoin que l’argent qu’elle avait investi travaille dans son intérêt et, en même temps, étant à la retraite, elle devait aussi le conserver dans un endroit relativement sûr, se souvient Andrea. Je l’ai conseillée sur la gestion de son portefeuille de placement, je l’ai informée des tendances actuelles susceptibles de toucher le rendement et nous avons trouvé une solution dont Jeanne est vraiment satisfaite. Gérer ses finances seule peut être très intimidant, mais Jeanne fait tout ce qu’il faut et me pose des questions au besoin. »
Andrea se rappelle : « Une fois, elle avait de l’argent à investir, mais elle ne savait pas dans quel type de compte le déposer. Elle approchait de l’âge où ses REER (Régimes enregistrés d’épargne-retraite) seraient convertis en un FRR (Fonds de revenu de retraite) et où elle devrait commencer à retirer des montants précis. Je lui ai donc suggéré de déposer les fonds dans son CELI (Compte d’épargne libre d’impôt) pour lui donner plus de souplesse. »
La sécurité financière trouvée
Andrea a été fabuleuse et j’ai désormais l’esprit tranquille. Chaque fois que j’ai une question, je n’ai jamais l’impression de déranger Andrea en lui envoyant un courriel ou en l’appelant et je reçois presque toujours une réponse immédiatement. Je n’ai jamais reçu un tel service d’une banque auparavant.
J’ai recommandé la Banque CIBC à ma sœur et j’en parle aussi à d’autres personnes. La meilleure chose que je puisse leur recommander est de trouver une personne qui comprend leurs besoins et qui sait comment les aider. Il est facile d’éviter les conversations difficiles sur l’argent ou de ne pas examiner attentivement ses factures, mais il est vraiment préférable de se donner les moyens de comprendre l’argent plutôt que de s’inquiéter parce qu’on ne le comprend pas. Il est important d’avoir le bon conseiller financier à qui parler avant de prendre une décision.
Je sais que je suis en bonne santé financière aujourd’hui. Je suis propriétaire de ma maison et je peux vivre seule. Cet été, j’ai l’intention d’obtenir un revenu supplémentaire en louant un appartement dans mon sous-sol. J’ai tout ce qu’il faut pour me sentir en sécurité.
Les conseils de la Banque CIBC à Jeanne
- Connaissez votre tolérance au risque – Il s’agit de votre capacité et de votre prédisposition à prendre des risques concernant vos placements. Si votre capacité et votre prédisposition à prendre des risques ne correspondent pas, optez pour le niveau de tolérance moins élevé des deux. Il est plus probable que vous puissiez vous en tenir à cette approche dans les bons moments comme dans les moments difficiles.
- Diversifiez vos placements – Il est important de détenir un portefeuille diversifié, de sorte que si un placement ou un secteur particulier traverse une période difficile, il peut être équilibré par différents types de placements et de secteurs qui peuvent résister à des tempêtes variées.
- Utilisez un CELI plutôt qu’un REER – Les deux comptes sont des outils précieux que les Canadiens peuvent utiliser pour faire fructifier leur épargne et éventuellement réduire leurs impôts, mais chacun fonctionne un peu différemment. Les cotisations retirées d’un CELI ne sont pas considérées comme un revenu et n’affectent pas l’admissibilité aux prestations du gouvernement fédéral fondées sur le revenu, comme l’allocation canadienne pour enfants, le crédit pour la TPS, le crédit en raison de l’âge, les prestations de la Sécurité de la vieillesse ou le Supplément de revenu garanti.
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