Le personnel diversifié et multilingue d’Osuji & Smith lui permet de se distinguer. On parle l’anglais, l’igbo, le mandarin, le cantonais, le bengali, l’espagnol, le japonais, le coréen, le français, l’hindi, le punjabi et l’ourdou.
« Je veille à ce que les professionnels ayant fait des études, suivi une formation et acquis de l’expérience à l’extérieur du Canada puissent s’épanouir dans mon cabinet, explique l’avocat. La réussite d’Osuji & Smith montre que, lorsque des gens de milieux différents se réunissent autour de valeurs fondamentales comme l’excellence et la compassion, tout en faisant fi de toutes les divisions artificielles, la magie opère. »
La pandémie n’a pas été facile, mais Osuji & Smith a continué de croître en embauchant huit employés et en adoptant la technologie, comme le reste du secteur juridique. Que ce soit pour les interrogatoires, les audiences du tribunal, les réunions de règlement, la médiation ou autre, le virtuel offre au cabinet des moyens plus pratiques et rentables de servir ses clients. « Avant la pandémie, je devais me rendre dans d’autres villes en voiture ou en avion. De ce point de vue, la technologie a facilité mon travail. Les coûts associés aux déplacements pour se rendre au tribunal ont été réduits, ce qui donne aux clients un meilleur accès à la justice », dit M. Osuji.
La technologie offre de nouvelles occasions et améliore l’efficacité, mais elle ne favorise pas nécessairement les relations et l’inclusion, deux pierres angulaires du cabinet de M. Osuji. « Nous n’avons plus l’occasion d’établir des liens avec nos clients en personne, explique M. Osuji. De plus, certains clients n’ont pas les connaissances technologiques nécessaires pour utiliser ces outils virtuels. »